Mai 2020
Merci à Stephan Steiner de Sennheiser Suisse pour le prêt de deux Neumann U47 Fet. Ils seront en test sur les trombones dans quelques jours…
Les capsules de mes 2 derniers M150 sont en cours de fabrication à Berlin, finalement!
SuperUpdate: On le fait!
Tous sont motivés et ont accepté de jouer sous les conditions proposées. Les sessions débuteront le 10 Juin pour 4 jours.
C’est magnifique de pouvoir à nouveau s’immerger dans la production mais aussi de recommencer directement avec un symphonique sous la direction de mon ami Kaspar. Je suis aussi impatient de retrouver cinq ans après l’orchestre de Bienne avec lequel nous avons réalisé le disque « Radecke ».
Les sessions « Lauber » avec l’orchestre de Bienne sous la direction de Kaspar Zehnder prévues à la fin de ce mois sont reportées au mois de Juin. C’est un miracle d’avoir trouvé une solution en si peu de temps combinant la disponibilité de tous ainsi que celle de la salle. A l’heure actuelle les conditions ne nous permettent toujours pas de travailler, mais nous avons espoir que l’évolution de la situation nous ouvre à nouveau les portes de la production le mois prochain!
Update: Nous préparons les sessions pour le mois de Juin!
Tous les participants ont la volonté de faire cette production. Nous avons conçu un plateau sécurisé au maximum avec des cloisons en Plexiglas et un stock de 600 masques. Les matériaux vont être livrés dans la semaine, ce sont des cloisons acoustiques généralement utilisées pour séparer les instruments et atténuer le son de l’un dans le microphone de l’autre, et vice versa. la hauteur est de 1m60. Nous allons établir une cloison entre les vents et les cordes afin de protéger ces dernières des projections directes. Les vents seront eux aussi séparés en trois groupes: les cors, les bois et les cuivres. Peut-être la première production studio de l’ère Covid-19 pour un orchestre symphonique.
Tout est prêt de notre coté, nous sommes maintenant dans l’attente d’une confirmation définitive qui tombera peu de temps avant la balance prévue…
En attendant, un arbre à bouteilles:
Mise en charge du Decca Fred II (le retour).
Les bouteilles remplacent les Neumann M150. C’est un Decca Tree fait maison qui sera au centre de toutes les prochaines productions symphoniques. Le précédent avait été inauguré pour l’enregistrement de la production « Radecke » (cf actu Juin 2015). A l’époque il portait 3 Neumann KM183 + SBK130. Aujourd’hui le système d’enregistrement complet comporte cinq M150, trois sur l’arbre et deux en « outrigger ».
ADCsound n’a pas encore reçu les deux derniers commandés il y a plusieurs mois, Neumann ayant des difficultés à trouver le titane de qualité permettant de fabriquer les capsules. Toutefois ils m’ont été promis d’ici la fin du mois de juin. En attendant, j’utiliserai le couple de mon ami Christophe Germanique pour avoir le système complet.
le M150 est la version moderne du capteur légendaire développé par Neumann pour Decca vers 1950. Il est fabriqué à la main et à la demande en Allemagne. Malheureusement, après avoir reçu un appel du directeur de la firme allemande m’expliquant les difficultés à se procurer le titane et le peu de demandes pour ce capteur si précieux, je vais recevoir les deux derniers…
Titänli again…
(Cliquez ici pour accéder à la page originale sur theartsdesk.com)
Mahler: Symphony No. 1 (arr. Klaus Simon), Zemlinsky: Maiblumen blühten überall (arr. Graziella Contratto) MythenEnsembleOrchestral/Graziella Contratto, with Lisa Larsson (soprano) (Schweizer Fonogramm)
The sleeve notes open ominously with: “Warning – This recording is dedicated to the art of reduction: Mahler’s emblematic First Symphony is… interpreted by only 16 soloists.” Given that many of the themes are taken from the song cycle Lieder eines fahrenden Gesellen, already available in Mahler’s sparer piano original, Klaus Simon’s idiomatic arrangement makes sense, itself based on the transcriptions made for Schoenberg’s Society for Private Musical Performances. Simon’s version emphasises Mahler’s debt to Schubert, the folkier melodies emerging pristine. And while the symphony’s still-startling opening really does need a full complement of strings, I challenge anyone not to swoon when the first movement’s jaunty main theme trots in. It’s genuinely lovely, reminding me at several points of Copland’s original Appalachian Spring. You do wonder how the more apocalyptic moments will fare, and it’s reassuring to report that Graziella Contratto’s MythenEnsembleOrchestral don’t undersell them. There’s plenty of disquiet a few minutes before the first movement coda, just before horns whoop their D major arpeggios. Simon makes inventive, subtle use of piano and accordion, the movement’s final bars sounding a little like Stravinsky.
Bass notes in piano replace the timpani in the third movement, a superb solo bass solo setting the scene for some Mahler’s leery klezmer parody. It’s excellent, as is the beginning of the finale. The Tchaikovskian second theme is indecently sweet, the overblown coda again boosted by thunderous pedal notes in piano. Zemlinsky’s Maiblumen blühten überall (May Flowers Bloomed All Around) makes for an apt coupling, an 1898 setting of a poem by Richard Dehmel originally scored for soprano and string sextet. Contratto’s larger-scale chamber arrangement is an irresistible slice of fin-de-siecle sweatiness, its horn and wind solos looking ahead to mature Mahler. The happiness can’t last, the object of the singer’s affection meeting an abrupt death from sunstroke. It’s sweetly sung by soprano Lisa Larsson, Contratto balancing the music’s different strands to perfection. A winning release. Next, investigate Peter Stangel’s improbably successful chamber version of Mahler 7, and Michelle Castelletti’s reduction of Mahler 10; both are impressive.
Le studio a reçu deux nouveaux Neumann cette semaine. Ce sont des TLM127, microphones qui ne sont plus disponibles au catalogue de la firme allemande. J’en ai trouvé deux en parfait état. Merci à Keith au Texas et à François, plus proche, à Thiers: